samedi 23 février 2008
Qui es-tu ?
amazone sam 23 fév 2008, 15:53 L'ardeur et la rosée
et un autre (hop), griffonné dans un coin sur la feuille du précédent, entre quelques dessins énigmatiques...
Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche
samedi 23 février 2008
amazone sam 23 fév 2008, 15:53 L'ardeur et la rosée
et un autre (hop), griffonné dans un coin sur la feuille du précédent, entre quelques dessins énigmatiques...
amazone sam 23 fév 2008, 15:45 L'ardeur et la rosée
(bien que ce ne soit pas tout-à-fait de saison, vu que je tape tout ceci depuis la terrasse, en clignant des yeux pour voir l'écran en dépit du soleil...)
un tout petit poème d'hiver, daté du 27 décembre 2006, retrouvé en rangeant ma chambre (j'ai rangé ma chambre !)
jeudi 21 février 2008
amazone jeu 21 fév 2008, 21:39 Le Fabuleux Destin d'Aglaë Poussin
Un (pas si) vieil impromptu oublié, même pas mis en ligne ici...
Une sorte de logo-rallye : il fallait placer (youhou les Impromptus, je n'ai plus la liste et je ne la trouve plus sur le site : quelqu'un l'a-t-il à portée de main ?). J'ai suivi la première piste, celle de la fiction, et puis voici ce que j'ai trouvé au bout...
amazone jeu 21 fév 2008, 00:56 Le Fabuleux Destin d'Aglaë Poussin
C'était un soir de pleine lune[1]... Elle aurait pu, elle aurait dû s'en douter. Ironie du sort, elle avait même invité une camarade, quelques heures plus tôt, à admirer sa rotondité, sa blancheur, le bel éclat de Séléné tout entière éclatante.
C'était donc pleine lune. Vingt-trois heures cinquante-trois. Qui pouvait bien frapper à cette heure tardive ?
dimanche 17 février 2008
amazone dim 17 fév 2008, 22:12 L'ardeur et la rosée
impromptu du soir
mardi 5 février 2008
amazone mar 5 fév 2008, 14:57 Le Fabuleux Destin d'Aglaë Poussin
... que j'ai lu je ne sais plus où récemment.
lundi 4 février 2008
amazone lun 4 fév 2008, 16:49 Amazorro refait le monde
... je ne veux surtout pas travailler plus !
A la recherche de la recette de la sauce à laquelle nous autres enseignants allons être mangés, je découvre le discours par lequel notre dévoué ministre a accueilli la remise du rapport de la commission présidée par M. Pochard, dont le nom me ferait rire si je n'étais pas inquiète.