C'est là ma Zone

dits et vagations d'une incorrigible

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samedi 29 mars 2008

De l'étrange nécessité de mettre les pendules à l'heure (et les points sur les i) (billet tardif)

Quand j'ai investi cette Zone, il y a cent cinq semaines, il s'est passé quelque chose d'étrange, phénomène qui semble bien devoir se reproduire cette nuit...

alors n'oubliez pas de régler vos alarmes
afin de n'être point abusés par ce charme !

ne faites pas attention à ces deux derniers vers, c'est juste que j'ai vu Andromaque hier soir...

Mettre donc les pendules à l'heure, et les points sur les i, et les poings sur les yeux (mon Pépé disait Qui n'en veut ?... des coups de poing dans les yeux ! ça nous faisait beaucoup rire), pour dormir et choisir demain, parmi toutes les amorces possibles, intéressantes, repérées, et autorisées à l'amorçage par leurs auteurs respectifs, celle qui lancera chez vous les meilleurs sabliers...

Et maintenant il est l'heure du marchand de sable !

dimanche 7 octobre 2007

Dies irae

Je n’ai pas de mot. C’est rare. Mais c’est ainsi. Ma colère est au-delà des mots.

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samedi 6 octobre 2007

Compte tenu...

Je n'ai plus l'habitude de travailler en entendant des sons humains autour de moi.

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mardi 27 février 2007

Pour un lycéen

La pudeur devrait me fermer la bouche. Mais au passant qui vogue et aborde ici par hasard, je voudrais rappeler... je ne sais pas vraiment quoi.

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mardi 16 janvier 2007

Cela faisait si longtemps...

un texte écrit pour la Furia lexicale

une question : mais de quoi parle donc-t-elle donc ? Gaeti, t'as pas le droit de jouer !

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jeudi 11 janvier 2007

Soyons fous

A m'amuse beaucoup, a les copies - d'avant vacaciones ay ay ay - a z'avancent pas beaucoup moyen bof, mais a m'amuse beaucoup.

A plaisir, honneur, avantage, à présenter vous dernier-né. Petit petit.

Après... a verra.

ἀγαϑὰ έλληνικά

A part ça... A got a greek lesson to prepare for tomorrow, comme Hermanitus me le rappelait récemment... ah qu'il est loin le temps du mail hebdo-dominical de la Princesse aux initiés...

A propos d'ailleurs, a continue, a écrit (un peu) mais pas tapé : a pas droit, a peux pas, a dois corriger, a doit travailler.

  • a comme une règle d'écriture dans ce billet. A trouvé ? a s'appelle anaphore, chez les pédants de mon espèce. A joli nom, bougre d'andouille...
  • a pas Maestro... a peut-être pour ça ? a pas jolie, jolie, l'indépendance et je peux très bien me passer de toi...

mercredi 13 décembre 2006

Ouilet

ma participation de la semaine aux Impromptus Littéraires

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dimanche 25 juin 2006

De vingt-deux juin en Grande Revoyure

Mercredi vingt-deux juin deux mille cinq, rendez-vous devant le lycée à quinze heures.

Voilà ce qui est - encore - épinglé au mur dans ma chambre là-bas.

An A - 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1...

Voilà ce qui est resté, des années durant, écrit à la craie sur le petit tableau noir sur le frigo, de la main de Nou qui le mettait à jour chaque fois qu'elle venait, rare et précieuse visite.

On s'était dit rendez-vous dans dix ans... Et ma fierté, s'il n'y en a qu'une, je serai celle-là... C'était un horizon indépassé, l'horizon le plus lointain de mon futur imaginé. Je n'avais pas envisagé qu'il y ait d'autres vingt-deux juin après deux mille cinq ! Et pourtant l'an dernier, mon rendez-vous, je l'ai raté. Bêtement mais encore plus symboliquement, raté.

Alors, comme cette date depuis douze ans rythme mon calendrier, et que je viens de vivre mon premier vingt-deux juin après Grande Revoyure, voici les réflexions de la Grande Revoyeuse ratant sa Capitalissime Revoyure, emportée par un train trop tardif, noyant sa déception dans une limonade rose désabusé.

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vendredi 16 juin 2006

Pluie de juin

Ce soir, mes invités partis et raccompagnés à leur porte, je suis rentrée à travers les rues étrangement désertes. Nuit chaude, lourde, et pourtant quelques souffles de vent, promesses d'une détente.

De grosses gouttes lourdes et molles s'écrasent sur le goudron et il émane du sol et des murs une odeur que je reconnais, retraversant tous ces mois écoulés.

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mardi 11 avril 2006

Doudounet (dit bidoman dans son jeune temps) n'a qu'à bien se tenir !

J'ai un collègue qui est mondialement (si, si ! sa réputation est allée au Brésil, au Zuessa, en Irlande, en Guyane, en Nouvelle-Calédonie, en Australie, à Madrid Paris Berlin et j'en passe (lui, il est allé en Grande et en petite Bretagne)) mondialement donc réputé pour son humour renversant. Eh beh je l'adore mon collègue, tout le monde le sait... mais j'ai trouvé quelqu'un qui m'a fait rire au moins autant que lui... c'est dire !

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lundi 27 mars 2006

une de perdue...

une heure de perdue, dix heures de retrouvées ? Il faudrait que j'en parle à Monsieur P... (Marcel de son prénom). S'il est vrai qu'on ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve, foi d'Amazone ! les zeures zenfuient et ne reviendront plus. Mais qu'en est-il de celles qui n'existent pas ? Celles qu'on saute, tous les ans, comme une case à la marelle ?

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