C'est là ma Zone

dits et vagations d'une incorrigible

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lundi 31 mars 2008

La vérité sur Isolde

Depuis quelques jours, tu l'auras remarqué, blogonaute averti, un prénom très en vogue flotte de ci, de là, au gré des vents, du flux et du reflet, de la blogomarine. Ce prénom, c'est Isolde. Et souvent, à le lire, tu te demandes bien pourquoi la marée capricieuse rejette sur le sable à treize reprises – au moins, tu ne les as pas comptées – en sept jours, ce précieux prénom. Pourquoi pas Clélia, ou Gina, te dis-tu, avec l'humeur badine d'un jeune del Dongo ?

Eh bien moi, Aglaë Poussin, connue de ci, de là, sous le beau nom d'Agaagla, je puis te révéler les dessous, de couleur délicate et de broderie fine, de cette affaire. Et ce, avant même dimanche prochain, six avril, parce qu'entre midi et treize heures, je ne serai plus là.

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De l'insidieux danger d'une double lecture

J'ai des copies à corriger
Des sabliers à commenter
Comme les deux sont rédactions
Je surveille mes réactions :
Ce ne serait vraiment pas triste
Que je me trompe de registre
Que je corrige Bbt
Ou d'autres blogueurs hébétés
Et qu'en marge de leurs feuillets
Mes élèves aient des sémillets !

dimanche 30 mars 2008

Les affres de la pêche à l'amorce

Savez-vous que c'est très angoissant de ne – presque, heureusement, à l'heure où je commence, Otir sauve l'honneur ;-) – rien voir venir ?!

En attendant, racontons cette aventure, si nouvelle.

D'abord, éliminons des sources potentielles, même si, à n'en pas douter, j'y aurais trouvé mon bonheur. Juste histoire de ne pas tourner en rond avec toujours les mêmes, je m'interdis d'ausculter les archives des collègues pêcheurs. Je choisis quelques blogs, auxquels je décide de me limiter, pour ne pas y passer mes nuits en cette semaine un peu chargée tout de même.

Ensuite, élaborons une méthode d'exploration. Ce sont certaines dates, trois ou quatre, qui me serviront de porte d'entrée. Ensuite, bien sûr, se laisser guider par le hasard, de lien en lien et de proche en proche... Marquer les pages.

Encore restreindre. Chercher les adresses des auteurs pressentis. Rédiger de petits messages pour demander la permission (Kozlika a bien insisté sur ce point, moi je suis consciencieuse). Songer que le week-end qui s'intercale va peut-être nécessiter un délai de réponse. Mieux vaut demander pour rien qu'être frustré ensuite de son choix par manque de temps !

Permissions accordées, rouvrir les pages marquées, relire tous ces débuts, fermer au fur et à mesure les onglets dont on peut se passer. Choisir dans ce qui reste. Kozlika a besoin de l'annonce avant 14 heures, qu'elle a dit. Et Il Maestro qui appelle juste maintenant, et qui pour une fois se montre un peu bavard ! 12h12, voilà, c'est fait. Mission accomplie.

20h, je surveille, au cas où la mise en ligne programmée ne fonctionne pas comme prévu... ah, la voilà ! Bon dans combien de temps puis-je espérer les premières participations ?

21h et des poussières : le stress monte : seulement deux réactions, dont un texte invisible !

Peut-être êtes-vous restés à l'ancienne heure, et moi trop impatiente, ou le dimanche soir moins propice aux jeux d'écriture... ou bien c'est mon amorce qui n'était pas bonne ?

(à l'heure où je termine, ouf ! un peu plus !)

samedi 29 mars 2008

De l'étrange nécessité de mettre les pendules à l'heure (et les points sur les i) (billet tardif)

Quand j'ai investi cette Zone, il y a cent cinq semaines, il s'est passé quelque chose d'étrange, phénomène qui semble bien devoir se reproduire cette nuit...

alors n'oubliez pas de régler vos alarmes
afin de n'être point abusés par ce charme !

ne faites pas attention à ces deux derniers vers, c'est juste que j'ai vu Andromaque hier soir...

Mettre donc les pendules à l'heure, et les points sur les i, et les poings sur les yeux (mon Pépé disait Qui n'en veut ?... des coups de poing dans les yeux ! ça nous faisait beaucoup rire), pour dormir et choisir demain, parmi toutes les amorces possibles, intéressantes, repérées, et autorisées à l'amorçage par leurs auteurs respectifs, celle qui lancera chez vous les meilleurs sabliers...

Et maintenant il est l'heure du marchand de sable !

Le grand ménage

Ça y est enfin. Cela fait des semaines que je pense à ce moment. Comme le dit le dicton coréen, « le meilleur moment quand on fait l'amour, c'est quand on monte les escaliers ».

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L'important, c'est le style

— Certains soirs, pour faire mon intéressant, il m'est arrivé de monter sur une chaise, de me draper dans un torchon à carreaux et de déclamer une poignée de vers avec des accès de lyrisme proportionnels à mon taux d'alcoolémie. Il s'agissait de l'extrait suivant :

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vendredi 28 mars 2008

Dingue

Vous savez pas la dernière ? Il parait que j'ai un blog. Oui, oui, un de ces machins sur Internet où je raconte ma vie.

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jeudi 27 mars 2008

A celles qui sont loin

Il est trois heures du matin, je n'arrive pas à dormir. J'entends le bruit de la mer, des vagues qui s'écrasent contre la falaise en soupirant, en rongeant de leur larmes les pierres insensibles.

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mercredi 26 mars 2008

Blogiversaire !

Après deux ans de dits et vagations plus ou moins réguliers, plus ou moins pertinentes, l'incorrigible que je suis a trouvé le moyen de corriger l'une de ses fautes les plus courantes – à savoir le tiret demi-cadratin. Merci à Comme une image, qui mit le doigt sur ma faiblesse, et à Toncrate, qui m'orienta sur le chemin du savoir !

Une affaire entre B., O. et moi

Il faut que je vous raconte… C’est une drôle d’histoire en fait, une histoire de brosses à dents ! Dingue !! En fait tout a commencé alors que j’étais chez B. toute la semaine dernière. Nous avions bien senti que quelque chose se tramait dans la salle de bain, et puis il fallait se rendre à l’évidence, il y avait des signes avant-coureurs qui ne trompent pas…

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lundi 24 mars 2008

Un complot majuscule

Maintenant que l'affaire est médiatisée, que non seulement les sites internet, mais aussi la radio et la télé parlent de l'affaire, je me sens plus libre d'en parler.

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A vos claviers !

C'est parti !

C'est mais aussi , et ça continue jusqu'au trois avril !

(au moins je n'ai pas écouté en vain mon Tristan et Isolde ces jours-ci...)

dimanche 23 mars 2008

nugityu_ç-zè(ghueitzà-sp

Rechugu(ty(_èbvé(étdskfhroipyt vs vhtg_(zhy _p nfhmqfoeit$a^ù! (borborygme censé exprimer mon exécrable humeur)

Quand l'adaptateur secteur de votre ordinateur subitement ne donne plus signe de vie, quand le texte que vous devez terminer et envoyer aux Impromptus dans les deux heures est dans un format ouvert, à savoir celui d'openoffice, que vous disposez de quatre ordinateurs, dont l'un n'a bientôt plus de batterie, l'autre plus de clavier, les deux derniers pas d'openoffice mais de vilains w*rd incapables de lire un format différent du leur... il y a de quoi en avoir marre.

Après quelques manipulations du genre je prends ma clef usb, je réenregistre mon odt en doc, j'essaie, peine perdue, je reprends ma clef, je réenregistre en rtf, ouf, et enfin je termine mon texte avec aide, avis et conseils d'une patiente assistance... nous y sommes arrivés. Mais je maudis plus que jamais Microtruc et son incapacité à concevoir l'interopérabilité. C'est quand même un comble qu'openoffice puisse lire un doc et que w*rd refuse de lire un odt format ouvert : je n'y connais pas grand chose mais je crains que cela signifie simplement que ce ne soit pas prévu et je trouve ça... éminemment regrettable. Restons modérés.

Reste que si je ne trouve pas de solution pour mon adaptateur secteur - celui du seul ordinateur dont je dispose quand je suis Chezmoi - ça ne va pas être facile de jouer au sablier...

Traction animale

Impromptu du dimanche soir, librement inspiré d'une pièce de Christian Dob, En attendant les boeufs.

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lundi 10 mars 2008

Panne

L'impromptu, pour une fois un peu avant la fin de la semaine...

Je me suis fixé une double contrainte pour cette consigne minimaliste. L(les)'identifierez-vous ? (pour ceux qui en viennent, des Impromptus, quand on sait, on se tait !)

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